Hugo est musicien, séducteur et épris de liberté. Alice est comédienne, idéaliste et romantique. Un an exact après leur brusque rupture, Alice débarque chez Hugo au milieu de la nuit : que reste-t-il de cet amour qu’elle croyait éternel ? Les anciens amants donnent le change pour masquer leur trouble, ils se mentent, résistent, chancèlent…Un an exact après cette nuit-là, c’est Hugo qui sonne à la porte d’Alice… Une pièce sur la force, le mystère et les contradictions du sentiment amoureux. L’amour - le vrai - ne meurt pas. Ce sont les relations qui prennent fin.
On aurait tellement envie, quand on est amoureux, que ce soit « pour toujours »…
Deux personnages s’affrontent, deux façons de voir la vie, deux façons de voir l’amour.
Êtes-vous plutôt Alice ou Hugo ?
NOTE D’INTENTION
Ça faisait longtemps que j’avais envie de travailler avec Caroline Devismes et Thomas Le Douarec. Quand cette pièce s’est imposée à mon imaginaire, j’ai su qu’elle était pour eux. Pour mon bonheur, ils l’ont pensé aussi. L’évidence s’est confirmée dès la première lecture : tout ce qui est essentiel pour faire exister mes personnages et leur histoire était là. Non seulement la sincérité, la justesse, la sensibilité, mais aussi une complicité qui permet de croire au lien amoureux entre Alice et Hugo : au-delà des mots, la séduction est palpable, le désir circule.
Nous avons, Thomas, Caroline et moi, le même idéal d’un théâtre d’incarnation, qui tend un miroir au spectateur. Ce désir commun de vérité nous a permis de plonger ensemble dans un travail passionnant, à la recherche de la justesse de la situation, des sentiments et des émotions. Il fallait faire exister les non-dits et le sous-texte : Alice et Hugo mentent, se mentent, ils ne savent pas très bien ni ce qu’il leur arrive, ni ce qu’ils veulent, ils sont emportés par leur sentiments et, en même temps, ils s’en défendent. Ils sont tour à tour touchants, séduisants, comiques. Il fallait saisir tous ces soubresauts de leur âme.
Nous avons, Thomas, Caroline et moi, le même idéal d’un théâtre d’incarnation, qui tend un miroir au spectateur. Ce désir commun de vérité nous a permis de plonger ensemble dans un travail passionnant, à la recherche de la justesse de la situation, des sentiments et des émotions. Il fallait faire exister les non-dits et le sous-texte : Alice et Hugo mentent, se mentent, ils ne savent pas très bien ni ce qu’il leur arrive, ni ce qu’ils veulent, ils sont emportés par leur sentiments et, en même temps, ils s’en défendent. Ils sont tour à tour touchants, séduisants, comiques. Il fallait saisir tous ces soubresauts de leur âme.
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