Incontournable légendes littéraire, Le Château de ma Mère est une source de jouvence, une ode à l’enfance et porte un tendre regard sur l’univers des adultes.
Dans cette adaptation adaptation, Antoine Séguin nous entraine avec délice dans les Souvenirs d’enfance de Pagnol. Il y incarne le petit Marcel ainsi que toute une galerie de personnages pittoresques croisés au fil des pages, Augustine, sa mère, son petit frère Paul, l’oncle Jules, la tante Rose, Lili des Bellons, Bouzigue, et bien d’autres encore. Ici, la magie du théâtre permet aux spectateurs de tous âges d’entrer dans l’univers enchanteur de ce grand texte.
Excellentes versions des textes de Pagnol, adaptés pour la première fois au théâtre où l’auteur renoue avec humour et tendresse, avec son enfance.
NOTE D’INTENTION
Après La Gloire de mon père, nous retrouvons le petit Marcel en vacances à la Bastide Neuve, au pied du Garlaban. Auprès de Lili des Bellons, un jeune paysan avec lequel il se lie d'amitié, il va devenir un vrai braconnier et partir à la découverte des collines alentours et de leurs secrets.
Puis arrive la fin de l'été et le triste retour à l’école, année importante s’il en est avec le concours des bourses de lycée en perspective. Après les fêtes de Noël, la famille décide finalement de retourner tous les week-ends à La Treille, mais c’est un long trajet. Fort heureusement, au cours de l’un d’eux, ils font la rencontre de Bouzigue, un ancien élève de Joseph devenu piqueur du canal. Ce-dernier va leur permettre de gagner un temps précieux en les faisant traverser “discrètement” et en droite ligne plusieurs propriétés privées et châteaux. À l’occasion de ces traversées, parfois angoissantes, ils croiseront divers personnages pittoresques et sympathiques, sauf un certain garde qui aurait pu lancer des procédures fâcheuses pour l’avenir de la carrière de notre instituteur…
Mais “le temps passe et il fait tourner la roue de la vie comme l’eau celle des moulins”. Vingt ans plus tard, Marcel Pagnol fera l’acquisition, par hasard, de l’une de ces propriétés afin d’y installer ses studios de cinéma, avec dès lors un seul regret : que sa mère ne soit plus de ce monde pour profiter de “son château”.
Puis arrive la fin de l'été et le triste retour à l’école, année importante s’il en est avec le concours des bourses de lycée en perspective. Après les fêtes de Noël, la famille décide finalement de retourner tous les week-ends à La Treille, mais c’est un long trajet. Fort heureusement, au cours de l’un d’eux, ils font la rencontre de Bouzigue, un ancien élève de Joseph devenu piqueur du canal. Ce-dernier va leur permettre de gagner un temps précieux en les faisant traverser “discrètement” et en droite ligne plusieurs propriétés privées et châteaux. À l’occasion de ces traversées, parfois angoissantes, ils croiseront divers personnages pittoresques et sympathiques, sauf un certain garde qui aurait pu lancer des procédures fâcheuses pour l’avenir de la carrière de notre instituteur…
Mais “le temps passe et il fait tourner la roue de la vie comme l’eau celle des moulins”. Vingt ans plus tard, Marcel Pagnol fera l’acquisition, par hasard, de l’une de ces propriétés afin d’y installer ses studios de cinéma, avec dès lors un seul regret : que sa mère ne soit plus de ce monde pour profiter de “son château”.
Soutien(s) : Spedidam