Le 28 septembre 1984 Bernard Pivot reçoit Marguerite Duras en direct dans sa célèbre émission Apostrophes. Un moment unique à propos duquel l’écrivain dira : « On était retourné au premier état de la relation humaine, celui de la curiosité de l’autre »
Sur le plateau une table, deux fauteuils, des livres, des fiches. Assis là, enveloppés dans une lumière franche, un comédien et une comédienne une heure durant vont interpréter cette rencontre et partir à la recherche de la qualité de cet échange.
60 minutes d'une rencontre exceptionnelle
PRESSE
Bernard Pivot : Dans cet Apostrophes avec Marguerite Duras j’ai été ébloui de nous retrouver, elle et moi, tels que nous étions, dans l’affrontement et la connivence, dans la distance et la séduction. Chapeau les comédiens ! Mais ce qui m’a le plus sidéré, c’est de ressentir de nouveau, avec intensité et pas fugacement, le risque du direct, comme si l’une et l’autre nous jouions une partie majeure de nos vies publiques et littéraires.
France Inter (Le masque et la plume) : Une fausse Duras, un faux Pivot et tout est d'une vérité éclatante (Gilles Costaz)
La Provence (Avignon festival Off 2018) : Brillant, forcément brillant !!! (Jean Noël Grando)
Cultura : Claude Gallou ne ressemble en rien à Bernard Pivot et pourtant il devient Pivot... Sylvie Boivin ne joue pas Duras, elle l'incarne littéralement.