Élisabeth, femme du banquier Félix, tient les comptes depuis plus de quatre ans. Un soir, celle qui a triplé dans l’ombre la fortune de son mari lui crie sa révolte, pour la première et la dernière fois. Elle quitte son mari, le laissant stupéfait d’être abandonné. Elle part vivre enfin selon ses principes. Pourtant, quatre heures plus tard, elle revient, anéantie par l’impossibilité de suivre l’idéal auquel elle croyait.
Il y a des jours où tient toute la vie, et qui sonnent tous les adieux.
NOTE D’INTENTION
Dénonçant l’esprit bourgeois et le conformisme libéral, La Révolte demeure une pièce violente, grinçante, féministe au propos toujours contemporain : n’oublions pas que jusque récemment les femmes n’avaient pas le droit d’avoir de compte en banque… et, aujourd’hui combien restent dans un mariage désastreux pour des raisons économiques ?
Salomé Broussky
Salomé Broussky
PRESSE
Le Figaro : Cette pièce est passionnante, extraordinaire. Timothée Lepeltier est frêle et très vraisemblable, Sarah-Jane Sauvegrain possède et l’autorité et la sensibilité. Elle est grande. Libre.
L’Humanité : Un texte au vitriol. Une révolte féministe pour l’égalité et le respect
Le Figaroscope : Une pièce, belle, forte, magnifiquement intelligente, incroyablement moderne. Tout y est dit. Un travail parfait
GALERIE
VIDEO
Soutien(s) : Le spectacle est labellisé Rue du Conservatoire, association des élèves et anciens élèves du Conservatoire national supérieur d’Art dramatique